Bientôt la coupe du monde de football et les compétitions tennistiques vont envahir notre quotidien médiatique. C'est la saison des joueurs de baballe. Qu'elle soit grosse ou petite personnellement je m'en fous, ça fait chier tout pareil dans le poste.
On en a pas fini avec les accros aux matchs vautrés sur le canapé une bière à la main, encourageant leurs idoles en bleu et fustigeant l'arbitre (toujours aussi nul) ! Préparons nos masques à gaz, les filles, une odeur de testostérone va flotter dans les salons.
Il paraît qu'il y a des femmes qui sont fan de sport, pourquoi pas, il y en aura toujours pour vouloir être les "égales" des hommes. Je n'ai pour ma part rien contre le fait d'être l'égale d'un homme, mais quand même pas n'importe lequel!
Normal qu'un chien courre après une balle, c'est son instict de chasseur qui s'exprime, c'est atavique. Quand c'est un adulte et qu'il se prend au sérieux, ça laisse songeuse...
Certes je suis une blonde et donc je ne suis pas à même de bien tout comprendre!
Je ne comprendrais jamais le goût des hommes pour les trophés et les médailles (pour le fric, ça par contre j'ai pigé). Alors je vais vous citer Pierre Desproges, représentant de la gent masculine :
"Les hémorragies cérébrales sont moins fréquentes chez les joueurs de football. Les cerveaux aussi."
Il ne faut pas désespérer, il y a quand même des frères qui ne sont pas plus cons que leur soeurs.
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