Dés le moi de juin les alcooliers seront dans l'obligation d'apposer sur leurs bouteilles une mise en garde contre les dangers de la consommation d'alcool pour le foetus. Après tout, pourquoi pas ?
Mais mardi, devant le tribunal administratif de Lille, trois femmes ont demandé réparation à l'état pour "défaut d'information sur le syndrome d'alcoolisation foetale", demandant chacune 150000 euro.
Ou il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir ! Il faut quand même une bonne dose de culot pour venir prétendre ignorer que l'alcool est un poison !
Au moyen age déjà, l'alcool était banni pendant la grossesse. Les trois ivrognesses en question demandent à l'état, c'est à dire à nous tous, des dommages et interrêt pour avoir à assumer la charge d'enfants handicapés. Toute honte bue !
La collectivité ne peut pas se substituer à la responsabilité individuelle. Ces femmes sont responsables du handicap de leurs enfants, et c'est plutôt eux qui seraient fondés à leur intenter un procès pour empoisonnement. Personne n'a obligé ces mères à boire. On ne peut pas faire porter à la collectivité le poids des conséquenses de leur immodération.
Même moi, dont la réputation de pochtrone n'est plus à faire, j'ai pu me passer d'alcool pendant 9 mois (plusieurs fois)et je n'ai pas eu besoin de mention sur l'étiquette.
Bientôt, on écrira sur les boîtes d'alumettes :"attention le feu peut brûler", sur les paquets de gateaux : "danger d'obésité" ... Et quoi encore ?
la précautionnite aigüe c'est comme la connerie et la cupidité, il n'y a pas de limite...
On ne peut pas prétendre à la citoyenneté sans assumer ses responsabilités et les conséquenses de ses actes !
coucou ma grande alors que deviens tu ? je n ai plus de tes nouvelles j espereque tu vas bien tu es surement occuper en ce moment j espere que tu recevras mon commentaire j adore venir sur ton blog bisous lynda
Rédigé par : leroux | 10/05/2006 à 08:53